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 Circé Hawthorne (Professeur de potions)

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Circé Hawthorne
Directrice de Serpentard, professeur de potions
Directrice de Serpentard, professeur de potions
Circé Hawthorne


Messages : 31
Date d'inscription : 21/02/2010
Age : 35

Circé Hawthorne (Professeur de potions) Empty
MessageSujet: Circé Hawthorne (Professeur de potions)   Circé Hawthorne (Professeur de potions) Icon_minitimeDim 21 Fév - 22:43:03

Nom : Hawthorne
Prénom : Circé
Âge : 37 ans
Sang : Sorcière de sang pur, descendante d'une longue lignée quasiment éteinte et sans grande renommée.

Origines : Anglaise, mais son père était malaisien.

Profession : Professeur de potions et directrice de Serpentard

Physique du personnage :
Circé possède la grandeur, l'équilibre et la finesse des traits qui font les belles femmes. Elle pourrait être belle, en effet, si son visage n'était pas figé en un masque impassible de dédain et de sévérité. Si sa peau hâlée porte les traces du soleil levant, elle ne dégage qu'une froide beauté, une beauté glaciale et intimidante. L'occident lui a ciselé un nez étroit et bien marqué. Ses narines collées, son nez légèrement recourbé portent les marques de sa réserve, de sa solitude. Les lèvres, au dessin discret, sont fines et pincées.
Ses yeux brillent autant que ses longs cheveux noirs mais ils semblent être animés par les feux obscurs et inquiétants qui inspirent son âme. La vie n’est plus rien lorsqu’on les soutient. Derrière les prunelles, rien d’humain, mais une sauvagerie bestiale, un néant sans fond, le regard, terrifiant, d’un prédateur aux dents tachées de sang. On ne parle plus. On tremble, on attend en entrevoyant les grilles de l’Enfer. La douleur est un risque secondaire. Il y a l’après, le noir glacial, définitif, qui vous absorbe par la simple présence de leur terrible femme. Circé fait parti de ceux qui ne peuvent cacher leur mauvaise nature. Elle la porte sur son visage, dans sa démarche qui allie grâce et dureté. Sa voix elle-même semble tirée des profondeurs polaires des abysses. La mort n’est pas douce, point de repos à espérer, ce n’est qu’un gouffre béant, une chute solitaire et éternelle. Oui, toutes les autres promesses à son contact disparaissent.
La femme porte essentiellement des robes de soie noires ou vert sombre, simples et dénuées de décorations. On ne peut pas dire qu’elle soigne son apparence plus que de raison. Son serpent corail pallie parfois cette absence en s'enroulant autour de son cou ou de son poignet, de son cou ou de sa cheville. On ne peut pas dire qu’elle soigne son apparence plus que de raison. Les semaines d’études prolongées devant un chaudron lui donnent parfois l’allure d’une sorcière tirée d’un roman d’épouvante, le visage à moitié dissimulé sous de longs cheveux noirs emmêlés, les mains noires et brûlés… Discrète, on la voit pas, mais les talons de hautes bottes noires annoncent souvent son arrivée par leurs claquements secs et réguliers.

Caractère :

Lorsque Circé parait, le silence tombe et les pas de côté s'esquissent sur son passage. Ce n'est pas du respect, c'est de l'instinct. Instinct de survie. Cette femme a tout du prédateur et ne dégage pas une once de bienveillance. Sa cruauté est sans bornes, sa pitié inexistante. La gentillesse, la compassion et la tolérance lui sont des valeurs inconnues. Son âme est si dure qu'elle ne cherche même pas à le dissimuler. Elle ne pratique pas l'hypocrisie, l'intimidation est sa meilleure arme. C'est parce que l'on sait d'avance quel type d'adversaire on risque de trouver qu'on évite de l'affronter ou de la contrarier. Tant qu'on ne la provoque pas, la bête se tient à distance et multiplie les admonitions. Cependant, on éveille vite son courroux...
Circé est très sensible à l'irrespect, aux sarcasmes malvenus. Un mot de travers peut faire basculer une vie entière. Elle ne connaît pas le pardon, et n'est animée que par la rancune, la certitude que vous n’êtes rien. Tout être humain étant insignifiant par définition. On ne fait pas le malin longtemps avec elle, sur son territoire, rien ne sera pris à la légère. La cruelle femme a su créer diverses potions de tortures, aux effets plus horribles les uns des autres, pour satisfaire son sadisme et l'incroyable pulsion destructrice qui réside en elle. Elle se glisse dans la peau de l'assassin ou du bourreau sans jamais se laisser assaillir par le remord et elle n'éprouvera à la fin qu'une froide satisfaction. Ses grands pouvoirs ne servent que sa vengeance, elle semble préférer la crainte à la domination.
Les objectifs de Circé ont toujours été flous. Ses potions jouent un rôle dans les grandes causes des autres, et un rôle très mineur dans sa vie. Elle ne vit que pour sa passion et ne cherche qu'à la vivre en paix avec la reconnaissance de ses pairs. Le seul but de son existence est de créer de nouveaux philtres, elle méprise le genre humain, n'aime que ses serpents. Les rêves de grandeur sont pour elle dérisoires.
Circé appartient à ce type de personnes que l'on ne comprend pas. Un de ces cœurs de pierre dont on ne pourrait soupçonner de sentiments autres que la haine et le mépris. Si des penchants plus humains se serrent au fond de son organe carné, il serait impossible de les déceler. Ils ne remontent jamais en surface et semblent avoir été scellés avant sa dixième année. Elle s'est presque toujours débarrassée de ceux qui l'ont aimé. L'Homme est par nature vénal et inconstant, ceux qui ont voulu lui faire croire le contraire doivent payer. Elle ne tolère pas la trahison, même si elle est minimes et sans conséquence. Question de fierté, de principes. Circé n'en est pas dénuée et c'est ce qui en fait un être à la fois méprisable et respectable. Elle se retournerait sans hésiter contre ceux qui osent déployer leur cruauté sans motif, les lâches, le mal qu'inspire la faiblesse, et cette espèce d'individu odieuse qui n'hésite pas à renoncer à sa condition d'Homme pour obtenir les faveurs d'un sorcier plus puissant. Sa logique est simple, un ennuyeux est une personne à abattre. Les coups partent vite. Vous n’êtes que des insectes et ceux qui bourdonnent trop sont à écraser.

Famille:
Père : On sait peut de choses sur Ahirudin Ooi. Fils d'une longue lignée de sorciers malaisiens, il a passé la majeure partie de sa vie à Singapour. Très tôt, il a trempé dans de nombreuses affaires criminelles et son nom figure dans de nombreuses histoires de meurtres sur moldus. Déshérité par sa propre famille, recherché par le ministère de la magie singapourien qui avait déjà démantelé et exterminé son groupe, il s'est enfui en Angleterre afin de profiter d'une justice plus souple. Le ministère anglais n'eut jamais connaissance de son arrivée clandestine. Il passa sept années terré dans l'allée des embrumes avec une compagne trouvée sur place et s'engagea dans d'obscures transactions. Un règlement de compte entre malfrats eut finalement raison de lui. Il avait trente huit ans.

Mère :
Serpentine Hawthorne est elle aussi descendante d'une longue lignée de sang pur. Mais elle fait parti de ces lignées maudites, misérables et pourries jusqu'aux mœurs par la magie noire. Les Hawthorne sont une de ces familles déchue, qui constituent depuis quelques années la pire vermine de l'allée des embrumes.
Serpentine a passé toute sa ville dans une bicoque tordue coincée entre deux boutiques mal famée à concocter des poisons de fortune pour des sorciers miteux. C'était une sorcière ratée, qui couvait le rêve insensé de suivre la voie du grand Athanase, un expert en potions maléfiques, le sorcier le plus illustre de sa famille à l'époque où leur nom provoquait encore terreur et admiration. Malheureusement, elle n'a jamais manifesté de don réel pour cet art. Le peu de recettes héritées de ce "génie", ne lui valurent que des brûlures et des cicatrices. A moitié défigurée, elle fut bientôt connue pour porter un masque noir sur une partie de son visage.
Passé ses tentatives de jeunesse, elle s'est résignée aux poisons faciles, glanés dans de vieux livres de magie noire. Elle démontra un étrange talent au cours de ses dernières années d’existence cependant. Mais son ambition soudaine l'a vite emportée. Elle avait quarante cinq ans.

Fille : Eurydice Hawthorne, élève peu remarquée en 3e année à Serpentard.

Biographie :

A chaque effet ses causes. L'état des géniteurs en dit souvent long sur le futur des enfants. N'importe qui aurait pu prédire que la rencontre d'un criminel en cavale et d'une empoisonneuse misérable, qui arrondissait ses fins de mois par quelques trafiques au marché noir, serait à l'origine d'une engeance condamnée à mal tourner. Les logements exigus et poussiéreux de l'allée des embrumes accueillaient toute la tourbe criminelle de la société sorcière et ne laissaient vivre que les mauvaises herbes. Le destin de Circé avait été scellé avant sa naissance. Elle serait une petite délinquante de plus. Une pauvre fille, sans histoire, sans avenir, l'errante anonyme d'une société fangeuse.
Son éducation traçait cette voie. Son père était peu présent, sa mère n'avait jamais beaucoup de temps à lui accorder et préférait l'élever "à la dure", sans lui prodiguer d'affection, c'était ainsi que ça se passait chez les Hawthorne. Très vite, Circé se retrouva livrée à elle-même dans l'allée des embrumes. Par soucis de l'occuper, et surtout d'avoir la paix, ses parents l'envoyaient souvent chercher ou passer leurs commandes dans les boutiques mal famées. On ne l'exploitait pas cependant. Elle avait le choix. Elle pouvait très bien décider de retrouver d'autres enfants aussi mal lotis qu'elle, mais elle ne le faisait pas. Non. Chaque jour, elle s'exécutait avec enthousiasme, dans l'espoir d'attirer l'attention de ses parents.
La petite fille enroulée de vieux vêtements fanés qui courait d'une boutique à l'autre était devenue le personnage pittoresque des habitués. On ne connaissait pas son nom, parce qu'elle se contentait toujours d'ânonner les mots griffonnés par ses parents, alors on l'appelait la "fillette au serpent" puisqu'elle ne se séparait jamais d'une vipère, dont les anneaux luisants constituaient sa seule parure. Cette vipère la préservait d'une trop profonde solitude depuis qu'elle avait entendu son appel à l'aide au coin d'une venelle et l'avait sauvée des griffes d'un chat. Circé parlait fourchelangue, comme le grand Athanase dont sa mère vantait tant les mérites. Si elle en était fière, elle n'en fit jamais cas. C'était un don rare, qu'elle tenait à garder secret. Elle ne voulait ni être vu comme une bête de foire, ni frustrer sa mère qui s'évertuait à concocter des potions d'une qualité passable.
Son père rentrait souvent tard le soir. Parfois il ne rentrait pas. Un jour, son absence fut anormalement longue. Circé s'inquiétait, mais sa mère ne semblait pas s'en soucier, ou plutôt, elle ne voulait pas en parler, et se montrait irritable. On retrouva le corps d' Ahirudin Ooi six jours plus tard, abandonné aux rats dans une ruelle peu fréquentée. Personne n'en parla. L'affaire reste obscure, et on ne sait pas à quelle date le cadavre a été jeté dans ce lieu. Les meurtres sont fréquents ici. Beaucoup les ignorent. La loi du silence règne.
Circé fut affectée, bien sûr, mais elle oublia vite. Après tout, la présence de son père était déjà une absence. Ce n'est qu'à la mort de sa vipère, quelques années plus tard, qu'elle connut les affres d'un profond chagrin. Un chagrin silencieux et inexpressif. Elle avait perdu depuis longtemps la saveur des larmes et les déformations physique de la douleur, car il existe deux types de mauvaises herbes : les faibles, qui se confondent aux autres et qui s'arrachent facilement, et celles qui se consolident, se couvrent d'épines, s'affirment, dominent et étouffent les autres. La petite fille avait tout pour rester bloquée dans les couches les plus basses de la société, insignifiante et pitoyable, comme sa mère, comme son père déchu mais elle était d'une autre trempe, d'une autre race. Une race plus forte capable d'étendre ses racines plus loin pour puiser ses forces.

Poudlard lui offrit de meilleures terres pour grandir et s'éployer. Fière élève de la verte maison, Circé sut vite tirer son épingle du lot. Son désir de réussir, de ne pas finir comme sa pauvre mère, et celui toujours présent d'attirer son attention, de redorer son nom, propulsa son ambition au sommet. Elle se fichait des autres, ne chercha jamais à établir des relations avec les élèves. La compagnie des serpents lui suffisait. De suite, elle devint l'une des meilleures élèves de son année et l'élève la plus brillante de Poudlard en matière de potions. Elle était exceptionnellement douée. Son professeur parlait d'enfant prodige. Son nom éveilla bientôt les souvenirs de l'ère glorieuse de sa famille. Les Hawthone avaient enfin retrouvé leur digne héritière et, fière de son succès, Circé devenait de plus en plus distante et méprisante.
Son ambition l'amena bientôt à essayer de faire ses propres mélanges. Perdue dans son univers de potions, de composition, de dosages et d'ingrédients, la jeune fille s'était complètement coupée du monde, et ne remarquait même pas les regards intéressés qui s'égaraient de plus en plus fréquemment sur son physique avantageux.
A seize ans, elle créa une potion de filature. Celle-ci permettait, si on possédait l'adn de celui qui l'avalait (un cheveux suffisait) de le retrouver où qu'il soit et quoiqu'il fasse. Le poison prégnant pouvait durer très longtemps et ne pouvait être annulé puisqu'il était assimilé par l'adn. C'était très ingénieux. Elle commit l'erreur de faire partager sa découverte à sa mère qui lui proposa d'en faire commerce. Circé n'hésita pas. Si son art plaisait et pouvait contribuer à donner une vie plus décente à sa mère, elle l'aiderait. Ainsi, elle commença à faire des potions pour elle et Serpentine Hawthorne connut enfin le succès. Un succès qu'elle s'attribua. Sa fille la laissa faire, mais se garda cependant de lui montrer ses nouvelles découvertes.
Durant les dernières années de sa scolarité, on la vit parfois en compagnie d'une autre serpentarde de son année. Une certaine Callista, jeune effrontée d'une beauté ravageuse qui ne se réservait qu'aux femmes, allait et venait dans l'univers très fermé de la métisse, profitant du moindre prétexte pour l'approcher. Circé ne la repoussait pas, mais ne la retenait jamais. Froide et distante, elle parlait peu. Son esprit restait tourné vers ses potions futures.
Callista l'apprivoisa lentement en l'appâtant avec des discussions portées sur les potions. Leur septième année les rapprocha légèrement. Les conversations se prolongeaient, les sujets semblaient se diversifier. Nous étions loin d'une forte complicité, leur rapport était plus complexe. Personne, et Callista la première, n'aurait su dire de quelle façon Circé percevait la relation qui se tissait entre elles. Elle lui portait néanmoins une attention plus évidente, comme si elle daignait enfin reconnaître sa beauté et son existence.

Ses Aspics brillamment passés, Circé retourna vivre avec sa mère. La cohabitation fut de très courte durée. Serpentine Hawthorne souhaitait poursuivre sa collaboration avec sa fille. Cette dernière avait une ambition bien plus grande. Bien décidée à se faire un nom et une situation, et à ne pas laisser sa mère lui voler son mérite, elle refusa de lui fournir de nouvelles potions. Les commandes s'allongeaient, les menaces pleuvaient. La vieille femme insistait, devenait de plus en plus mauvaise, Circé ne cédait pas. Elle avait abandonné depuis longtemps l'idée d'attirer sur elle l'affection maternelle. Le rempart d'illusions était tombé. La rancœur et la haine frappaient.
Une recette fut abandonnée sur son bureau. Sa mère la trouva et essaya, en désespoir de cause de l'utiliser. Ce jour là, l'allée des embrumes fut secouée par une explosion impressionnante. Circé avait modifié l'une de ses fameuses recettes pour provoquer une puissante déflagration. Serpentine Hawthorne ne méritait pas une mort moins misérable. Elle avait toujours fait honte à l'art des potions.
Quelques temps après Circé s'installa avec Callista dans un appartement qui bordait l'allée des embrumes, où ses potions recevaient un très bon accueil. L'histoire des deux femmes dura deux ans, et connut une fin bien cruelle. Circé mettait au point des mélanges des plus en plus monstrueuses, et Callista ne le tolérait plus. Comment, disait-elle, pouvait-on mettre entre n'importe quelles mains des poisons aux effets si inhumains ? Révoltée par tant d’horreurs, elle commença à prendre ses distances, et la jeune Hawthorne ne l’accepta pas. Cette jeune femme, qui l’avait poursuivie tant d’années, lui appartenait. Elle en ferait ce qu’elle voulait. Et puisqu’elle l’agaçait, elle préférait s’en débarrasser. Afin d'empêcher la rupture et, surtout de la punir, Circé dilua dans son eau l'un de ses plus terribles breuvages. Sa compagne comprit dès les premières douleurs. Ses yeux emplis d'effroi, baignés de larmes heurtèrent le regard impitoyable de sa meurtrière. "Comment as-tu pu oser me faire ça !" s'était-elle exclamée d'une voix brisée avant de tomber sur le sol en hurlant de douleur. Les os de son corps explosèrent un à un. L'agonie fut longue, insoutenable et la cruelle femme y assista, en juge impassible. On put cependant déceler une certaine gravité dans ses prunelles à la fin. Elle ne souriait pas.
Les conditions de la mort de la jeune femme furent cachées à la justice et enveloppées dans le voile usé de l'accident regrettable. Si personne n'était dupe, on ne dit rien. Ce qui était arrivé à sa mère, puis à cette personne qui partageait sa vie, suffisait à dissuader les délateurs les plus téméraires. Si par la suite quelques adversaires se présentèrent à elle, ils ne firent pas longtemps parler d'eux. Elle ne fut pas moins tendre avec ceux qui osèrent lui manquer de respect ou la trahir.
Circé se fit un nom, et une réputation à faire pâlir les pires résidants d'Azkaban, au sein de la communauté ténébreuse. Il devint très vite impensable d'envoyer quelqu'un auprès d'elle sans l'avoir mis en garde au préalable.
Célèbre pour ses potions, elle reçoit aujourd'hui des commandes du monde entier et occupe presque toute la part du marché de Deathly Mounds. Elle ne permet pas, de toute façon, qu’on lui fasse de l’ombre. On murmure qu’elle serait l’une des sorcières les plus puissante de Grande-Bretagne. Cependant, les propriétés de ses recettes ne dépassent pas le cercle très privé des adhérents de la magie noire. Circé ne cherche pas la gloire. Elle préfère éviter le danger, se faufiler et frapper dans l'ombre, comme ses chers serpents.
Sa fortune lui a permis de quitter le chemin de traverse depuis la mort de Callista. Elle vit désormais dans un manoir isolé perdu au milieu des landes anglaises avec une fille conçut d’une bien étrange façon. Elle n’aurait jamais porté la maternité, mais plusieurs femmes sont mortes avant sa naissance. Comprenez bien qu’elle voulait une fille, il était impensable de lui donner un garçon. Les deux malheureuses ont payé très cher cette erreur de la génétique. C’est un supplice qu’elle aime se représenter à ses heures de méditation. Toujours attendre les douleurs de l’accouchement, et laisser à un serpent le soin d’achever le travail. Pauvre enfants, pauvre femme, attachée au lit, démente, et mourante, plus faible d’heures en heures. Les neufs mois perdus valaient bien ce spectacle. Quand à la mère porteuse de sa fille, une morsure à la gorge aura suffit. Il n’était plus question de la faire payer par goût du jeu, juste de s’en débarrasser, puisqu’elle n’était plus d’aucune utilité.
Que voulait Circé ? Une enfant à qui transmettre son savoir, l’amour des potions qui lui est si cher. Hélas, la petite Eurydice, prisonnière de son joug, est une élève décevante. C’est peut-être ce qui l’aura poussé à demander un poste à Poudlard cette année, ce besoin soudain, avec l’âge, de transmettre la passion qui anime son âme, et de trouver, peut-être, un prodige à sa mesure. Il est difficile d’émettre autre chose que des suppositions. Malgré sa réputation inquiétante, la terrible femme a passé l’entretien sans rencontrer de problème grâce à un dossier étonnement vierge, une scolarité parfaite, le soutien enthousiaste du professeur Slughorn – mais était-il profondément sincère ? – et un sérieux implacable. Retourner à Poudlard lui fait un drôle d’effet, mais c’est apaisant, d’une certaine façon, retrouver ces pierres où tout a véritablement commencé.

Baguette : 26,9 cm, bois d'if, sang de gorgone.

Animaux : Elle ne se sépare jamais d'un serpent corail noir qui pointe de temps à autre sa tête rouge hors de ses manches ou de son col. Elle possède aussi un mamba noir, un taïpan, tous deux longs de 4 mètres et garde chez elle une grande variété de reptiles venimeux pour ses potions.

Signes distinctifs : On ne peut pas l'empoisonner car elle s'est mithridatisée en s'infligeant quotidiennement de nombreuses toxines.
Son corps est nourri aux potions, à un point tel que la plupart des maléfices ont du mal à percer sa carapace, et elle y veille. Cette faculté a tendance à surprendre les misérables qui ont osé la provoquer en duel. Mais la magie des sortilèges n’est pas la sienne. Elle garde en elle des pouvoirs particuliers causés par des potions prises au quotidien. On ne sait jamais à quoi s’attendre. Mais sa peau prend à force des taches étranges, il est à prévoir qu’elle ne sera à force rien d’autre qu’un pâle reflet de femme, ce qui n’est d’ailleurs pas un souci pour elle.
Fourchelangue non reconnue. Elle peut communiquer avec les serpents et son tempérament lui permet de les apprivoiser sans difficulté, en réalité elle se sent elle-même beaucoup plus proche des reptile que des êtres humains.
Elle est, quoique sa biographie laisse à penser, bien plus dangereuse pour les hommes que pour les femmes. C’est juste que ces meurtres là ne méritent même pas d’être mentionnés.

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